Léa Balage El Mariky, député Écologiste et social, le 05/02/2025 ©PurePolitique
Assemblée nationale

La gauche en pleine crise de nerfs après le refus des socialistes de voter la censure

Au siècle dernier, très exactement en 1930, les partis communistes européens, sur instruction de Moscou, commencèrent à qualifier leurs partenaires socialistes de sociaux-fascistes. Le génial Staline considérait que la révolution prolétarienne mondiale était imminente. Et si elle tardait, malgré tout, c’était à cause des sociaux-démocrates qui la freinaient avec les fascistes. Cette absurdité idéologique et politique disparut cinq ans plus tard. Le petit père des [lire la suite de l'article]

Arthur Delaporte, député Socialistes et apparentés, le 03/02/2025 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Le Parti socialiste renonce à censurer le gouvernement et le Rassemblement national fait mijoter tout le monde

Qui a dit que le Premier ministre était pingre ? En une seule après-midi, il s’est fendu de deux recours à l’article 49-3. Madame la présidente, mesdames et messieurs les députés, j’ai l’honneur d’engager en vertu de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution la responsabilité du gouvernement sur le texte de la commission mixte paritaire. Sur le fondement de l’article 49 alinéa 3 de [lire la suite de l'article]

Éric Coquerel, député LFI et président de la Commission des finances de l'Assemblée nationale, le 28/01/2025 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Censure, budget : François Bayrou drague le Rassemblement national, les socialistes rallongent la liste de leurs exigences

C’est ce qui s’appelle surfer sur la vague. Celle d’une partie de l’opinion. Je pense que la rencontre des cultures est positive. Mais dès l’instant que vous avez le sentiment d’une submersion, de ne plus reconnaître votre pays, de ne plus reconnaître les modes de vie ou la culture, dès cet instant-là vous avez rejet. François Bayrou, Premier ministre, le 27/01/2025 La submersion a bien [lire la suite de l'article]

Sur le radar

Olivier Faure, député Socialistes et apparentés et Premier secrétaire du Parti socialiste, le 26/01/2025 ©BFMTV
Assemblée nationale

François Bayrou est contraint de retricoter le budget s’il ne veut pas être censuré par les socialistes

C’est la semaine de tous les dangers pour le Premier ministre. Jeudi, une Commission mixte paritaire, composée de 7 sénateurs et 7 députés, tentera de parvenir à un texte de compromis sur le budget. Rejeté par l’Assemblée nationale puis amputé par le Sénat de la plupart des mesures sur lesquelles Matignon s’était engagé dans le cadre des discussions avec les socialistes, le projet de loi [lire la suite de l'article]

André Chassaigne, député GDR et président du groupe GDR à l'Assemblée nationale, le 21/01/2025 ©PurePolitique
Gouvernement

Retraites, budget : le gouvernement abandonne trois mesures saugrenues

Comment plumer les retraités ? C’est l’obsession des gouvernements depuis quelques mois. Michel Barnier voulait décaler l’indexation des pensions. Ce qui revenait à raboter celles-ci définitivement. Ça s’est terminé par le vote d’une motion de censure. Depuis, c’est un festival de ballons d’essai. On lâche une idée devant les médias et on regarde comment ça réagit. Si ça grogne, on retire. Mais l’avantage de cette [lire la suite de l'article]

François Hollande, député Socialistes et apparentés et ancien président de la République, le 20/01/2025 ©RTL
Assemblée nationale

François Hollande sort l’artillerie contre Jean-Luc Mélenchon

François Hollande revient. La cause était entendue depuis son élection dans la première circonscription de Corrèze en juillet dernier. Mais on se demandait quand le capitaine de pédalo, comme l’avait surnommé Jean-Luc Mélenchon, allait reprendre la mer. C’est chose faite depuis dimanche. L’ancien président de la République a accordé un long entretien à l’édition dominicale du quotidien La tribune. “Les socialistes constituent désormais le pôle [lire la suite de l'article]

Boris Vallaud, président du groupe Socialistes et apparentés, à l'Assemblée nationale le 16/01/2025 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Motion de censure : les socialistes ont manqué à l’appel

Ils n’ont été que 131 députés à vouloir censurer François Bayrou. Les 71 élus insoumis, 36 écologistes sur 38 et 16 communistes sur 17. Mais les socialistes ont manqué à l’appel. Sur les 66 députés du groupe, il ne s’est trouvé que 8 parlementaires pour enfreindre la tardive consigne de vote de leur parti. Si le PS a choisi de ne pas censurer le gouvernement, [lire la suite de l'article]

Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France, le 13/01/2025 ©Franceinter
Gouvernement

Les négociations autour d’une possible suspension de la réforme des retraites se poursuivent dans la confusion

Négocier avec la gauche non mélenchoniste et ménager la droite. C’est le défi que doit relever demain mardi François Bayrou lors de sa déclaration de politique générale. A la clé, il y a la survie de son gouvernement, au moins pendant la discussion budgétaire. Celle-ci devrait commencer le 30 janvier et s’achever la semaine suivante. Pour l’instant, le pari semble bien mal engagé. Dimanche, pour [lire la suite de l'article]

Olivier Faure, député Socialistes et apparentés et Premier secrétaire du Parti socialiste, le 09/01/2025 ©TF1
Gouvernement

Négociations à Bercy : vers une suspension de la réforme des retraites ?

C’est un vieux débat à gauche. Vaut-il mieux se satisfaire de quelques réformes plutôt que d’attendre une incertaine révolution, fut-elle citoyenne et pacifique ? Pragmatisme d’un côté, messianisme de l’autre. Depuis le congrès de Tours, il y a plus d’un siècle, qui vit la SFIO se diviser entre socialistes et communistes, la gauche ne cesse de reproduire cet antagonisme. Un tiens vaut mieux que deux [lire la suite de l'article]

Éric Lombard, ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, le 06/01/2025 ©Franceinter
Gouvernement

Le gouvernement Bayrou fait (encore) de l’œil aux socialistes

Michel Barnier avait parié sur le soutien du RN pour survivre à Matignon. Mauvais calcul. François Bayrou, lui, table sur le Parti socialiste pour échapper à la censure. L’arithmétique parlementaire est inflexible : sans les voix des 66 députés socialistes, ni le Rassemblement national, ni la France insoumise ne peuvent espérer renverser le gouvernement. Ce dernier s’est donc lancé dans une entreprise de débauchage grand [lire la suite de l'article]

Gérald Darmanin, ministre de la Justice, à Marseille le 02/01/2025 ©BFMTV
Gouvernement

Narcotrafic : Gérald Darmanin tente d’occuper l’espace médiatique avant une possible censure

Que faire face à la drogue et ses réseaux criminels ? Ce matin, Gérald Darmanin était à Marseille – où il s’est déjà rendu une trentaine de fois lorsqu’il était ministre de l’Intérieur – pour porter un message de fermeté, dixit son service de communication. Nous sommes dans un point de bascule pour la République. Nous devons collectivement nous réveiller. Gérald Darmanin, ministre de la [lire la suite de l'article]

François Bayrou, Premier ministre, à l'Assemblée nationale le 17/12/2024 ©AssembléeNationale
Gouvernement

Mayotte, gouvernement : François Bayrou sait-il où il va ?

Sait-il où il va ? Depuis qu’il s’est imposé dans le bureau d’Emmanuel Macron, François Bayrou donne l’impression d’un homme dépassé par sa fonction et l’ampleur du défi qu’il doit relever. L’homme accumule les gaffes. D’un jeune premier de la politique, on comprendrait à défaut de pardonner. Mais à 73 ans, accumuler autant d’erreurs en si peu de temps inquiète. Déjà, dans les couloirs de [lire la suite de l'article]

Jordan Bardella et Marine Le Pen reçus à l'Hôtel Matignon, le 16/12/2024 ©BFMTV
Gouvernement

Fraîchement nommé, François Bayrou courtise déjà le Rassemblement national

Fidèle à sa modestie légendaire, François Bayrou a placé ses nouvelles fonctions sous le double patronage d’Henri IV et de François Mitterrand. Un peu curieux pour celui qui n’est que Premier ministre. Il aurait pu choisir Sully, le principal ministre d’Henri IV – celui qui disait que labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France – ce qui aurait fait plaisir aux agriculteurs [lire la suite de l'article]

La délégation socialiste (Boris Vallaud, Olivier Faure et Patrick Kanner) devant l'Élysée le 10/12/2024 ©PurePolitique
Exécutif

Le président de la République fait lanterner les Français sur la nomination du prochain Premier ministre

Ce ne sera pas pour ce soir. A l’évidence, Emmanuel Macron s’accorde une nuit de réflexion pour choisir son Premier ministre. Morphée lui apportera-t-il la lumière que Notre-Dame lui a refusé. Sauf incroyable retournement, le président doit trancher entre deux chevaux de retour, François Bayrou haï par la droite et Bernard Cazeneuve détesté par les trois quarts de la gauche. A moins qu’il n’appelle Roland [lire la suite de l'article]

Boris Vallaud, député Socialistes et apparentés et président du groupe Socialistes et apparentés à l'Assemblée nationale, le 9/12/2024 ©FranceInter
Exécutif

Emmanuel Macron veut bâtir un programme commun à tous les partis avant de désigner un Premier ministre

Dieu a-t-il parlé à Jupiter ? Il ne semble pas. Certes, les voies du seigneur sont impénétrables, mais le vicaire de l’Élysée, chanoine de Latran qui plus est, aurait pu rencontrer un signe de la providence au détour d’un pilier de Notre-Dame. C’est râpé. Du coup, notre Don Camillo propose une réunion œcuménique. Une réunion des différentes forces politiques pour échanger sur une plateforme programmatique. [lire la suite de l'article]

Emmanuel Macron, président de la République française, le 5/12/2024 ©Élysée
Élysée

Emmanuel Macron refuse une quelconque responsabilité dans le blocage du pays

On a beau connaître l’artiste, Emmanuel Macron ne cessera de nous étonner. Le président s’invite sur toutes les chaînes pour nous dire qu’il n’est en rien responsable de la confusion actuelle. Quand bien même c’est un certain Macron Emmanuel qui a dissout l’Assemblée nationale en juin dernier. Un cousin éloigné sans doute… Il est évident qu’il y a des députés au sein du groupe socialiste [lire la suite de l'article]

Michel Barnier, Premier ministre, le 4/12/2024 ©AssembléeNationale
Assemblée nationale

Motion de censure : un uppercut au foie pour la classe politique française

Le vote congédiant Michel Barnier n’avait pas commencé que déjà, à la tribune de l’Assemblée, s’esquissaient les premières recompositions. Sans doute la classe politique française avait-elle besoin de cet uppercut au foie pour esquisser une politique de compromis. Chose banale chez nos voisins allemands, espagnols ou italiens. Paradoxalement, c’est celui qui a été incapable de bâtir le dit compromis qui le résume le mieux. Ce [lire la suite de l'article]

Mathilde Panot, députée LFI et présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale, le 2/12/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Michel Barnier vit sans doute ses dernières heures à Matignon

Mercredi soir, il ne sera plus Premier ministre. Sauf si le Président de la République venait à le renommer. Pourtant Michel Barnier était prêt à toutes les concessions pour conserver son poste. Espérant retenir la lame du bourreau, il s’est même engagé par écrit, avant la séance, à ne pas dérembourser les médicaments. Allant même jusqu’à préciser qu’il prenait cette mesure à la demande de [lire la suite de l'article]

Prisca Thévenot, députée EPR, le 28/11/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Censure : le Rassemblement national lance un ultimatum au gouvernement

Et Michel Barnier finit par céder. Dans le Figaro de ce jeudi après-midi, le Premier ministre annonce qu’il renonce à l’augmentation des taxes sur l’électricité. Un geste qui, espère-t-il, lui évitera de voir les députés du Rassemblement national joindre leurs voix à celles des députés du Nouveau Front Populaire pour censurer le gouvernement. Nous n’avons pas les détails de cette mesure. Nous ne savons pas [lire la suite de l'article]

Boris Vallaud, député PS et président du groupe Socialistes et apparentés à l'Assemblée nationale, le 24/11/2024 ©FranceInter
Assemblée nationale

Apologie du terrorisme, pacte avec le bloc central, future élection présidentielle… à gauche, la recomposition est imminente

En politique, identifier le moment où l’on peut être entendu est une qualité indispensable. C’est bien d’avoir des idées, encore faut-il se préoccuper de la réception de celles-ci par l’opinion. Pour le dire autrement, il faut avoir le sens du timing. A cet égard, la proposition de loi abrogeant le délit d’apologie du terrorisme déposée par le député LFI Ugo Bernalicis est l’exemple même de [lire la suite de l'article]

Sylvain Maillard, député EPR, le 19/11/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Retraites, Mercosur : à l’Assemblée nationale, le gouvernement essuie camouflet sur camouflet

Plus les jours passent et plus ça se déglingue. Après avoir démonté le budget au point que les derniers soutiens du gouvernement ont voté contre la partie recettes, l’Assemblée nationale se prépare maintenant à régler son compte à la réforme des retraites. Hier, mercredi, en Commission des affaires sociales, les députés ont adopté la proposition de loi d’abrogation que présentera LFI lors de sa niche [lire la suite de l'article]

Éric Coquerel, député LFI et président de la Commission des finances de l'Assemblée nationale, le 12/11/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

L’Assemblée nationale rejette le budget dans sa version remaniée par le Nouveau Front Populaire

Dans l’histoire de la République, c’est du jamais vu. Pour la première fois, les soutiens du gouvernement ont voté contre le projet de budget. Et pour la première fois, une partie de l’opposition a voté pour le projet de loi de finances après l’avoir dûment amendé. Jamais les rédacteurs de la Constitution n’auraient pensé que ce fut possible. À commencer par Michel Debré. Après l’absence [lire la suite de l'article]

Marc Ferracci, ministre délégué chargé de l'Industrie, le 9/11/2024 ©FranceInter
Gouvernement

Plans sociaux en masse : la faillite du macronisme et de la politique de l’offre

C’est une année noire qui se profile pour l’emploi. Même Marc Ferracci, le ministre délégué chargé de l’Industrie en convient. Il y a des dossiers d’entreprises en difficulté, des annonces de fermetures de sites, il y en aura probablement dans les semaines et les mois qui viennent. Je ne vais pas donner des chiffres mais évidemment que ça va se compter en milliers d’emplois. On [lire la suite de l'article]

Jérôme Guedj, député Socialistes et apparentés, à l'Assemblée nationale le 4/11/2024 ©AssembléeNationale
Assemblée nationale

Le socle commun veut empêcher les débats sur le budget à l’Assemblée nationale

Depuis 48 heures, les regards de l’opinion se tournent vers les États-Unis. Et c’est légitime. Mais pour spectaculaire qu’elle soit, la victoire de Donald Trump ne doit pas occulter l’important débat qui se déroule à l’Assemblée nationale. Celui sur le budget. Le gouvernement et ses soutiens font tout ce qui est possible pour enliser les débats. Objectif : empêcher les députés de rester dans les [lire la suite de l'article]

Sébastien Chenu, député RN, à l'Assemblée nationale le 31/10/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Abrogation de la réforme des retraites : le Rassemblement national échoue dans sa tentative de piéger la gauche

À force de les voir engoncés dans leurs petits costumes, policés à l’excès, on avait fini par oublier le vrai visage de l’extrême droite. Ces gens si raisonnables ne pouvaient plus être assimilés aux extrémistes qui ont fondé le Front national en 1972. Et pourtant… Ce jeudi matin, Thomas Ménagé, rapporteur de la proposition de loi du RN sur l’abrogation de la réforme des retraites [lire la suite de l'article]

Nicolas Sansu, député GDR, le 25/10/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Budget : les macronistes désertent l’hémicycle et la gauche engrange les votes favorables

À bien y regarder, le déroulement des débat, la semaine dernière à l’Assemblée nationale, a quelque chose d’incroyable. Le projet de budget du gouvernement Barnier a été détricoté dans des proportions jamais vues. Au point que l’insoumis Éric Coquerel estimait dimanche sur X que “le budget qui sera soumis au vote début novembre reste NFP compatible”. Et le président de la Commission des finances de [lire la suite de l'article]

Cyrielle Chatelain, députée écologiste et social et présidente du groupe écologiste à l'Assemblée nationale, et Jérémie Iordanoff, député écologiste et social et vice-président de l'Assemblée nationale, le 22/10/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

À l’Assemblée nationale, la gauche profite de la fracturation du bloc central

L’alliance entre les macronistes et la droite de Laurent Wauquiez est moribonde. Chacun vit désormais sa vie, oubliant l’alliance qui avait notamment permis de porter Yaël Braun-Pivet à la présidence de l’Assemblée nationale. Quant à soutenir le gouvernement, tout ce petit monde semble s’en préoccuper comme de sa première chemise. Après tout, Michel Barnier n’est que de passage… Hier soir, par exemple, les députés de [lire la suite de l'article]

Charles de Courson, député LIOT et rapporteur général de la Commission des finances de l'Assemblée nationale, député EPR, le 19/10/2024 ©AssembléeNationale
Assemblée nationale

L’examen de la partie recettes du budget a débuté, turbulences à venir pour le gouvernement

Ce lundi soir débute l’examen du budget 2025 en séance publique. Et avec lui le calvaire du gouvernement. Comment éviter que les députés ne taillent en pièces le budget comme ils viennent de le faire pendant quatre jours en Commission des finances ? Comment éviter que ne se répètent les alliances ponctuelles qui ont permis, amendement après amendement, de quitter les rivages de l’austérité pour [lire la suite de l'article]

Pieyre-Alexandre Anglade, député EPR, le 16/10/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

La Commission des finances de l’Assemblée nationale détricote le budget de Michel Barnier

Chaque jour, le soutien parlementaire du gouvernement s’affaiblit un peu plus. Mercredi soir, en Commission des finances, le vote sur la fameuse contribution différentielle sur les hauts revenus, la CDHR, en a apporté une preuve supplémentaire. Cette mesure prévoit d’instaurer une imposition minimale de 20 % pour les contribuables dont le revenu est supérieur à 250 000 euros pour les personnes seules et à 500 [lire la suite de l'article]

Éric Coquerel, député LFI et président de la Commission des finances de l'Assemblée nationale, le 10/10/2024 ©AssembléeNationale
Assemblée nationale

Budget : le Haut conseil des finances publiques contredit le gouvernement

Mercredi dernier, Antoine Armand, ministre de l’Économie et Laurent Saint-Martin, ministre du budget, présentaient les grandes lignes du projet de loi de finances pour 2025. Autrement dit le budget. Le gouvernement entend réaliser 60 milliards d’économies. La dépense publique se verra réduite de 40 milliards tandis que les recettes fiscales augmenteront de 20 milliards. Soit deux tiers de coupes budgétaires et un tiers de prélèvements. [lire la suite de l'article]

Olivier Faure, député PS et Premier secrétaire du PS, le 8/10/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

La coalition autour de Michel Barnier se déchire à belles dents

En choisissant Michel Barnier comme Premier ministre, Emmanuel Macron avait déclaré faire le choix de la stabilité. C’est réussi. Jamais autant de dingueries politiques se sont accumulées en aussi peu de temps. On se croirait dans les Tontons Flingueurs, l’immortelle comédie de Georges Lautner et Michel Audiard. Vous tous qui hésitez à brandir une matraque ou à sortir un 7.65 quand les circonstances l’exigent, vous [lire la suite de l'article]

Marine Le Pen, députée RN et présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale, le 6/10/2024 ©RassemblementNational
RN

Le Rassemblement national est déjà en campagne pour de prochaines élections

Demain, mardi, Michel Barnier affrontera sa première motion de censure. Elle sera défendue au nom du Nouveau Front Populaire par Olivier Faure, le Premier secrétaire du Parti socialiste. Dans le texte, les rédacteurs mettent en avant deux motifs : “L’existence de ce gouvernement, dans sa composition et ses orientations, est une négation du résultat des dernières élections législatives”. “Le projet de loi de finances et [lire la suite de l'article]

Éric Coquerel, député LFI et président de la Commission des finances de l'Assemblée nationale, le 1/10/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Budget : le gouvernement Barnier prépare l’austérité

À force de baisser les impôts des plus fortunés et des grands groupes, il y a un trou dans la caisse. 62 milliards d’euros selon la Cour des comptes. Voilà ce qu’a coûté au pays la politique de l’offre menée depuis 2018 par Emmanuel Macron. Comme on pouvait s’y attendre, le moment de l’addition est venu. C’est Michel Barnier qui a présenté la note mardi. [lire la suite de l'article]

Élisabeth Borne, députée EPR et ancienne Première ministre, le 30/09/2024 ©RMC
Gouvernement

Élisabeth Borne, Gérald Darmanin et Gabriel Attal tirent à boulets rouges sur Michel Barnier

Mais qui soutient Michel Barnier ? Le Premier ministre n’a pas encore prononcé sa déclaration de politique générale – ce sera demain à l’Assemblée – qu’il apparaît de plus en plus isolé. Le fameux bloc central se lézarde à la vitesse grand V. Gérald Darmanin lançait dimanche à Tourcoing son mouvement. “Populaires”. Avec un S. Mais je sais que nous serons aussi nombreux à ne [lire la suite de l'article]

Erwan Balanant, député MoDem, à l'Assemblée nationale le 24/09/2024 ©PurePolitique
Exécutif

Michel Barnier désavoue le ministre de l’Économie pour ne pas déplaire à Marine Le Pen

On se demande vraiment quel intérêt Marine le Pen aurait à briguer l’Élysée en 2027. Ou même avant. Certes, le logement de fonction est confortable et l’apparat de la fonction présidentielle enivrant. Mais pour ce qui est du pouvoir réel, la présidente du groupe Rassemblement national l’a déjà entre ses mains. Ses moindres désirs sont devenus des ordres. À preuve le psychodrame qui s’est déroulé [lire la suite de l'article]

ÉDITORIAL

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    C’est la sempiternelle du verre à moitié vide ou à moitié plein. La commission mixte paritaire s’est donc mise d’accord sur un projet de budget. Le Parti socialiste – comme la France insoumise – a voté contre, mais ses négociateurs revendiquent plusieurs gains. Ont-ils vraiment obtenu des concessions ou se sont-ils fait rouler dans la farine ? Maigres prises de [lire la suite de l'article]

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