Élysée

Bientôt des soldats français en Ukraine ?

Sans doute Emmanuel Macron, enfant, n’a-t-il pas suffisamment joué aux petits soldats. Jamais, par temps de paix, un président n’avait autant convoqué la rhétorique guerrière.  Du “nous sommes en guerre” de la période Covid au “réarmement civique” de la nation courant janvier, en passant par le Service national universel et l’uniforme à l’école, on se dit que le chef de l’État aurait dû faire Saint-Cyr plutôt que l’ENA. Même [lire la suite de l'article]

Élysée

Macron présente le plan de bataille du nouveau gouvernement

Quand Emmanuel Macron s’exprime, on a tendance à l’écouter d’une oreille distraite. Voire à l’éviter. Le personnage s’enivre facilement de ses mots et de ses trouvailles. Sa prestation, mardi 16 janvier, devant un parterre de journalistes, une semaine après avoir nommé Gabriel Attal à Matignon, n’a pas échappé à la règle. Narcissique et péremptoire, le président a réalisé un score moyen. 8,7  millions de spectateurs, [lire la suite de l'article]

Élysée

La cérémonie juive d’Hanoukka au sein du Palais de l’Élysée

Emmanuel Macron veut envoyer un message d’unité aux Français. C’est la confidence recueillie par Le Monde, en marge d’une visite du chef de l’État, jeudi 8 décembre, au Panthéon. Ce rendez-vous devrait intervenir dans le courant du mois de janvier. On trépigne d’impatience ! Si l’on ignore pour l’instant la teneur du message, on peut en revanche prédire que le président aura fort à faire [lire la suite de l'article]

Élysée

Référendum et 49-3 : les ratages successifs de Macron

C’était mercredi 15 novembre, à Berne, en Suisse. Alors qu’il est de tradition que le président de la République s’abstienne de commenter l’actualité nationale depuis l’étranger, Emmanuel Macron a laissé éclater sa colère contre Éric Ciotti. Le président des Républicains venait de lui faire savoir qu’il n’assisterait pas à la nouvelle rencontre de Saint-Denis, prévue deux jours plus tard. Motif officiel : l’absence du président [lire la suite de l'article]

Élysée

Israël-Hamas : la diplomatie confuse d’Emmanuel Macron

Mais quelle est donc la position de la France sur le conflit au Proche-Orient ? Cette question, qui devrait être banale, prend, avec Emmanuel Macron, des allures d’enquête au long cours. Un vrai polar. Même les diplomates français n’arrivent plus à suivre comme le révèle le journaliste Georges Malbrunot dans un article savoureux du Figaro. Fait inédit, plusieurs ambassadeurs de France au Moyen-Orient s’alarment, dans une [lire la suite de l'article]

Élysée

Israël-Hamas : la grosse boulette diplomatique de Macron

Mardi 24 octobre, les députés attendaient tranquillement le 14e engagement de responsabilité du gouvernement – le 49-3 c’est un peu comme les feuilles mortes, ça se ramasse à la pelle – lorsqu’ils ont entendu ça : C’est pourquoi la France est prête à ce que la coalition internationale contre Daech, dans le cadre de laquelle nous sommes engagés pour notre opération en Irak et en Syrie, [lire la suite de l'article]

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Macron en Israël : l’urgence d’un cessez-le-feu

Emmanuel Macron s’envole mardi 24 octobre pour Israël. Il y rencontrera le Premier ministre, Benyamin Netanyahou. Sur le chemin du retour, il pourrait faire escale en Égypte ou au Liban, voire dans les deux pays. Ce réveil de la diplomatie française est bien tardif. Le président américain Joe Biden, le chancelier Olaf Scholz et le Premier ministre Rishi Sunak se sont déjà rendus en Israël.  [lire la suite de l'article]

Élysée

Le Conseil d’État doit se prononcer sur l’abaya

Va-t-on bientôt en terminer avec l’hystérie qui s’est emparée du pays à propos de l’abaya ? Toutes les chaînes en font leur miel. Et le moins qu’on puisse dire est que la rationalité semble avoir déserté des esprits d’habitude plus brillants. Plus intéressant que la bataille médiatique, il y a la bataille du droit.  Le 8 ou 9 septembre, le Conseil d’État doit rendre sa [lire la suite de l'article]

Élysée

Rentrée politique : quel est le cap de Macron ?

Comme prévu, la montagne a accouché d’une souris. Une petite souris. Les douze heures d’échange entre le président et les onze chefs de partis invités, le 30 août, n’ont donné lieu à aucune conclusion. Et encore moins à des engagements ou des décisions. Marine Tondelier l’a souligné sur X, l’ancien réseau Twitter. On a porté des propositions concrètes sur le blocage des prix. Le président [lire la suite de l'article]