Mêlant le retour d’Adrien Quatennens en politique et la contestation de la réorganisation de la France insoumise, la députée de Seine-Saint-Denis se livre, dans les colonnes du Journal du Dimanche à une violente charge contre l’actuelle direction du mouvement. « Un parti ne se renforce pas en s’épurant. Nous risquons de nous fragiliser et de fragiliser la Nupes. Or, sans la Nupes, sans dynamique de son fer de lance qu’est La France insoumise, nous privons les Français d’un espoir : celui de renverser Macron » argumente Clémentine Autain. Elle en appelle à Jean-Luc Mélenchon qui a « un rôle à jouer » pour « mettre fin‘ à la crise interne.
Sur le radar
Rébellion chez les Insoumis
Du côté de la France insoumise, l’exigence d’un fonctionnement démocratique du mouvement se fait plus pressante. Samedi prochain à Gagny, en Seine Saint-Denis, plusieurs centaines d’Insoumis organisent une assemblée citoyenne afin de proposer une réforme de leur mouvement. Ce sera l’occasion de mesurer les rapports de force en interne. Jusqu’à présent, seules quelques figures historiques se sont exprimées comme Raquel Garrido, Alexis Corbière, François Ruffin, [lire la suite de l'article]
Transes politiques express
Les rencontres de Saint-Denis se feront sans LR, LFI et le PS
Sur le plan national, Emmanuel Macron est autant à la peine que sur le plan international. Vendredi 17 novembre, pour la deuxième édition des rencontres de Saint-Denis – le conclave avec les chefs de partis –, le chef de l’État se sentira un peu seul. Après La France insoumise et le Parti socialiste, Les Républicains viennent de décliner l’invitation. Officiellement, Éric Ciotti reproche au président son [lire la suite de l'article]
Assemblée nationale
Drapeau palestinien brandi à l’Assemblée nationale : c’est le boxon !
L’hémicycle de l’Assemblée nationale, c’est un peu comme le Festival de Cannes ou la cérémonie des Césars. Il y a des caméras et on en profite pour faire le buzz. Le député insoumis Sébastien Delogu qui a brandi, mardi, un drapeau palestinien dans l’hémicycle, n’est pas le premier représentant du peuple à perturber une séance. Et il ne sera certainement pas le dernier. C’est interdit, [lire la suite de l'article]
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