Le projet de loi présenté par Élisabeth Borne prévoit de porter l’âge de départ en retraite à 64 ans. Et le taux plein des pensions à 172 trimestres. Soit 43 annuités. Mais dans les documents présentés, on découvre que ceux qui ont commencé à travailler avant 21 ans devront avoir cotisé pendant 44 ans !
Mêlant le retour d’Adrien Quatennens en politique et la contestation de la réorganisation de la France insoumise, la députée de Seine-Saint-Denis se livre, dans les colonnes du Journal du Dimanche à une violente charge contre l’actuelle direction du mouvement. « Un parti ne se renforce pas en s’épurant. Nous risquons de nous fragiliser et de fragiliser la Nupes. Or, sans la Nupes, sans dynamique de son [lire la suite de l'article]
« Je suis le paratonnerre de toutes les haines de nos adversaires, et parfois de toutes les ambitions de nos amis » a déclaré Jean-Luc Mélenchon lors d’un meeting à Saint Étienne. Le leader de la France insoumise – qui ne préside plus aujourd’hui que la fondation La Boétie – faisait référence aux turbulences provoquées par la réorganisation de son mouvement.
« Je crois profondément qu’une adoption est possible sans 49-3 « , déclare Gabriel Attal, dans un entretien accordé au Figaro. Le ministre délégué chargé des Comptes publics exhorte Les Républicains à ne pas « devenir le parti de l’inertie« . On en reparle dans deux mois…
Dans un billet de blog sur Médiapart, François Ruffin affime qu’il tourne la page sur son éviction de la direction opérationnelle de la France insoumise : Je n’en fais pas une affaire, loin de là. Aucun dépit, nulle amertume. Affaire close. Ma bataille, notre bataille à gauche, ça doit rester pour les Français, leurs salaires, leurs enfants. Pour leurs retraites, surtout, maintenant, avec une contre-réforme [lire la suite de l'article]
Dans le Parisien, le secrétaire général de Renaissance accuse Éric Ciotti, nouveau président des Républicains d’être le « marchepied » de l’extrême droite. Il « appelle »lance un appel à la droite républicaine » pour qu’elle travaille avec la majorité présidentielle.
Lundi Caroline Cayeux, a démissionné de son poste de ministre déléguée aux Collectivités territoriales. Et mardi, la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) a saisi la justice. Elle reproche à l’ex-ministre une « évaluation mensongère de son patrimoine » et une « fraude fiscale ». Le désaccord porte notamment sur l’estimation d’un immeuble haussmannien d’environ 500 m2, sur six étages dans le XVIe arrondissement de Paris.
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