Jean-Luc Mélenchon, chef de file de la France insoumise, le 26/08/2025 ©Franceinter
Exécutif

Pour une partie de la classe politique, la question de la démission d’Emmanuel Macron est déjà posée

Après des mois d’immobilisme, la vie politique s’accélère. Comme si elle voulait rattraper le temps perdu. Le vote de confiance n’interviendra que dans 10 jours, le 8 septembre. Et pourtant le débat se cristallise sur la séquence d’après. Faut-il dissoudre l’Assemblée nationale pour sortir de l’impasse dans laquelle la dissolution de 2024 a plongé le pays ? Oui, répondent les Français si l’on en croit [lire la suite de l'article]
Devant le siège du parti Les Écologistes à Paris, le 10/06/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

La gauche ressuscite, la droite explose… Le souffle de la dissolution n’épargne aucun parti politique

En prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron imaginait éparpiller la gauche, façon puzzle. Eh bien, c’est plutôt râpé. Nous l’avons fait. Nous avons réussi à nous mettre d’accord… Alors, Front populaire, tout ça, on est d’accord c’est exactement comme ça que s’appelle notre communiqué : Faire front populaire. Mais on a encore beaucoup de travail, vous l’imaginez. Mais on est venus vous voir [lire la suite de l'article]
Coalition présidentielle

Crise sociale : majorité, droite et extrême droite s’en prennent à LFI

Emmanuel Macron est coincé. Sa cote de popularité rejoint presque la dégringolade qu’il avait enregistrée au plus fort du mouvement des gilets jaunes. C’est ce qu’annonce un sondage de l’Ifop pour Paris Match et Sud Radio. À l’époque, le chef de l’État s’en était sorti par la répression à outrance et l’organisation d’un « grand débat ». La répression est toujours au rendez-vous. Quant au « grand débat », [lire la suite de l'article]
Pas d'image
Assemblée nationale

Dissolution de l’Assemblée : la rumeur revient

Le président a déjà émis l’hypothèse d’une dissolution de la chambre basse en cas de statu quo dans les débats. Le chef de l’État remet une pièce dans la machine ce dimanche 6 novembre. Olivier Véran, porte-parole du gouvernement, doute de la tactique. Fin septembre, Emmanuel Macron avait agité la menace d’une dissolution de l’Assemblée nationale en cas d’adoption d’une motion de censure. Mais l’annonce n’avait pas [lire la suite de l'article]