Fête de l'Humanité à Brétigny-sur-Orge, le 14/09/2024 ©PurePolitique
Transes politiques express

Fête de l’Humanité : le choc des stratégies à gauche

Jean-Luc Mélenchon s’exprimait depuis la fête de l’Humanité à Brétigny. Une fête qui a été fidèle à sa tradition de débat. Notamment celui qui traverse la France insoumise et par extension la gauche dans son ensemble. Comment retrouver l’adhésion des milieux populaires ? Pour Jean-Luc Mélenchon, les acteurs de la révolution citoyenne sont à recruter dans deux groupes sociaux bien identifiés. C’est la jeunesse qui [lire la suite de l'article]

Conférence de presse du Rassemblement national à l'Assemblée nationale, le 14/09/2024 ©RassemblementNational
Assemblée nationale

Les chances de survie du gouvernement Barnier sont maigres au regard de la nouvelle composition de l’Assemblée nationale

Dans les albums de Lucky Luke, il y a un personnage récurrent. Le croque-mort. Il apparaît au détour d’une case chaque fois que les pistolets vont parler. Avec Michel Barnier, c’est un peu la même chose. Sauf que les croque-morts sont plus nombreux. Certes, le Savoyard n’a rien d’un pauvre cavalier solitaire loin de chez lui, même si la Savoie, ce n’est pas la porte [lire la suite de l'article]

Lucie Castets, candidate NFP pour le poste de Premier ministre, le 27/08/2024 ©PurePolitique
Exécutif

Emmanuel Macron se retranche derrière une fausse obligation constitutionnelle pour justifier la mise à l’écart de Lucie Castets

Plus c’est gros, plus ça passe. Emmanuel Macron réécrit la Constitution à sa sauce et l’on est prié d’acquiescer. Je vous raconte. Lundi soir, l’Élysée a mis en ligne un communiqué dressant le bilan des premières consultations avec les chefs de partis. Communiqué au terme duquel Jupiter indique qu’il exclut la nomination d’un Premier ministre venu des rangs du Nouveau Front Populaire. Le communiqué précise [lire la suite de l'article]

La délégation du Nouveau Front Populaire à l'Élysée, le 23/08/2024 ©PurePolitique
Exécutif

La nomination d’un Premier ministre est un casse-tête pour Emmanuel Macron

Nous pensions commenter la composition d’un nouveau gouvernement. Mais visiblement, le chantier a été mis à l’arrêt pendant les Jeux Olympiques. Sans doute pour décrocher la médaille d’or de la lenteur. Vendredi soir, Emmanuel Macron jubilait. Il tenait enfin le prétexte pour écarter définitivement la candidature de Lucie Castets à Matignon. Si un seul insoumis entrait au gouvernement, le bloc macroniste et la droite déposeraient [lire la suite de l'article]

Éric Coquerel, député LFI et réélu président de la Commission des finances à l'Assemblée nationale, le 20/07/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Contre toute attente, la gauche devient majoritaire au bureau de l’Assemblée nationale

La gauche veut-elle vraiment gouverner ? Ce matin, Laurence Tubiana, candidate des socialistes, des communistes et des écologistes a jeté l’éponge. Dans un courrier publié sur X, elle déclare : “Nous avons besoin d’une politique de revitalisation démocratique qui réponde à l’urgence sociale et aux enjeux de la transition écologique. Cependant je constate que mon nom a rencontré des oppositions au sein du NFP. Tout [lire la suite de l'article]

Yaël Braun-Pivet à l'Assemblée nationale, le 18/07/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

À l’Assemblée nationale, petits et grands arrangements pour élire Yaël Braun-Pivet

Yaël Braun-Pivet a donc été réélue présidente de l’Assemblée nationale au troisième tour de scrutin. Elle devance le candidat du Nouveau Front populaire de 13 voix. Pas grand-chose. Et justement, la question de la conformité de cette élection avec la Constitution est posée. Vous remarquerez qu’il y a 13 voix d’écart qui ont permis à Yaël Braun-Pivet de battre la candidature unique du Nouveau Front [lire la suite de l'article]

Les députés de la France insoumise devant Assemblée nationale, le 9/07/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Le Nouveau Front Populaire se déchire sur le choix d’un candidat à Matignon

Faut-il parler de coma profond pour le Nouveau Front Populaire ? Ou de pronostic vital engagé ? Ce matin sur BFM, Manuel Bompard a acté l’ajournement des négociations sur le nom d’un candidat pour Matignon. Plutôt que de perdre du temps encore dans des palabres sans fin qui n’avancent pas et qui n’aboutissent pas, je dis que le Nouveau Front Populaire doit s’accorder immédiatement sur [lire la suite de l'article]

Jean-Luc Mélenchon et Manuel Bompard devant l'Assemblée nationale, le 9/07/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Emmanuel Macron viole allègrement la séparation des pouvoirs

La dérive monarchique du régime s’accentue. Voilà qu’Emmanuel Macron entend dicter ses conditions aux Français qui viennent pourtant de s’exprimer. Voilà qu’il veut choisir ce qui serait bon pour eux. Que voulez-vous, ces gueux, ces manants, ne sont que des ignorants. Dans son infinie bonté, notre seigneur a pris sa plume pour les éclairer. Même si la flamme de sa chandelle vacille. Voici ce qu’il [lire la suite de l'article]

Devant le siège du parti Les Écologistes à Paris, le 10/06/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

La gauche ressuscite, la droite explose… Le souffle de la dissolution n’épargne aucun parti politique

En prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron imaginait éparpiller la gauche, façon puzzle. Eh bien, c’est plutôt râpé. Nous l’avons fait. Nous avons réussi à nous mettre d’accord… Alors, Front populaire, tout ça, on est d’accord c’est exactement comme ça que s’appelle notre communiqué : Faire front populaire. Mais on a encore beaucoup de travail, vous l’imaginez. Mais on est venus vous voir [lire la suite de l'article]

Conférence de presse de la France insoumise à Paris, le 9/06/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Dissolution : le grand retour de la NUPES ?

Le ministre en sursis Stéphane Séjourné n’est pas un orateur né, c’est entendu. Mais on avait presque pitié de lui, ce matin, en l’entendant décliner un narratif laborieux sur les raisons de cette dissolution. Pour lever des blocages, on a vécu des dissolutions de confort, ce n’est pas une dissolution de confort. Aujourd’hui, le schéma électoral français montre que 40 % des électeurs qui se [lire la suite de l'article]