
Avec la disparition du pape François, l’Église se retrouve à un tournant de son histoire
Qui peut nier que la mort du Pape soit un évènement politique qui s’impose même à ceux qui ne sont pas croyants ? N’était-il pas la référence de presque un milliard quatre cent millions d’individus sur les cinq continents ? Au moment où de l’autre côté de l’Atlantique, le vice-président américain instrumentalise la religion catholique pour la mettre au service d’une guerre culturelle, ce qui [lire la suite de l'article]