La gauche réunie sur la Place de la République à Paris, le 15/06/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

La formation du Front Populaire mise à l’épreuve par des « purges » au sein de LFI

Existe-t-il un virus de l’autodestruction en politique ? Depuis le 9 juin, la question est posée. Qu’on y songe. En appuyant sur le bouton de la dissolution de l’Assemblée nationale, le président de la République a du même coup dissout son parti Renaissance et la coalition qui le soutenait. Ils ont disparu de l’écran. Et depuis, les piètres apparitions médiatiques du Premier ministre en sursis, [lire la suite de l'article]

Devant le siège du parti Les Écologistes à Paris, le 10/06/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

La gauche ressuscite, la droite explose… Le souffle de la dissolution n’épargne aucun parti politique

En prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron imaginait éparpiller la gauche, façon puzzle. Eh bien, c’est plutôt râpé. Nous l’avons fait. Nous avons réussi à nous mettre d’accord… Alors, Front populaire, tout ça, on est d’accord c’est exactement comme ça que s’appelle notre communiqué : Faire front populaire. Mais on a encore beaucoup de travail, vous l’imaginez. Mais on est venus vous voir [lire la suite de l'article]

Conférence de presse de la France insoumise à Paris, le 9/06/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Dissolution : le grand retour de la NUPES ?

Le ministre en sursis Stéphane Séjourné n’est pas un orateur né, c’est entendu. Mais on avait presque pitié de lui, ce matin, en l’entendant décliner un narratif laborieux sur les raisons de cette dissolution. Pour lever des blocages, on a vécu des dissolutions de confort, ce n’est pas une dissolution de confort. Aujourd’hui, le schéma électoral français montre que 40 % des électeurs qui se [lire la suite de l'article]

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Sur le radar

Pourquoi Emmanuel Macron a-t-il décidé de dissoudre l’Assemblée nationale ?

En politique, comme à la table des casinos, il y a les flambeurs et les stratèges. Incontestablement, le chef de l’État appartient à la première catégorie. Persuadé qu’une bonne étoile continue de veiller sur son destin, il a choisi de renverser la table. La fortune ne sourit-elle pas aux audacieux ? Ce quitte ou double serait fascinant si le prix n’en était pas notre avenir [lire la suite de l'article]

Éric Coquerel, député LFI et président de la Commission des finances de l'Assemblée nationale, le 4/06/2024 ©PurePolitique
Assemblée nationale

Emmanuel Macron est prisonnier du bon vouloir des Républicains

Dimanche soir, selon toute vraisemblance, la liste de Jordan Bardella sera devant toutes les autres. Et dans la foulée, le président du Rassemblement national réclamera la dissolution de l’Assemblée nationale. Emmanuel Macron refusera. Qu’aurait-il à y gagner ? Le chef de l’État est d’accord pour qu’on légifère sur la fin de vie, mais pas la sienne. Car le sondage secret commandé par les Républicains au [lire la suite de l'article]

Les députés insoumis et écologistes à l'Assemblée nationale le 4/06/2024 ©AssembléeNationale
Transes politiques express

Nouvel incident à l’Assemblée nationale autour d’un drapeau palestinien

Les séances des questions au gouvernement se suivent et se ressemblent. Cette semaine, les députés insoumis, épaulés par les écologistes, avaient imaginé de faire un tifo dans l’hémicycle, à l’image des supporters de foot. Objectif : reproduire le drapeau palestinien sur le côté gauche de l’hémicycle. C’était plutôt malin, le règlement de l’Assemblée n’interdisant pas aux députés de choisir la couleur de leurs vêtements. En [lire la suite de l'article]

Gabriel Attal, Premier ministre, et Valérie Hayer, tête de liste Renaissance pour les élections européennes, sur Franceinfo le 3/06/2024 ©Franceinfo
Exécutif

Européennes : Gabriel Attal et Emmanuel Macron font le show dans la dernière ligne droite

Les militaires appellent ça un tir de saturation. Il s’agit de faire feu avec toutes les armes disponibles pour empêcher l’adversaire de quitter sa tranchée. C’est très exactement ce qu’Emmanuel Macron s’apprête à faire dans l’espace médiatique. Pendant trois jours, on ne verra et on n’entendra que lui. Ce sont les commémorations du 6 juin 1944 qui vont servir de prétexte à ce détournement. Derrière [lire la suite de l'article]